Lors du Dialogue National Inclusif, plusieurs questions d’ordres politiques, économique ont été évoquées par des sou commissions. Parmi celles présentées sur le volet social, figurait le dossier sur les violences en milieu scolaires et universitaires. A cet effet, des propositions ont été faites pour y remédier. On note intégrer les dispositions pénales sur les stupéfiants dans les règlements intérieurs, recruter les jeunes gabonais pour assurer la sécurité des élèves et bien d’autres.

 

Un réel défi pour la communauté éducative

 

Ce fléau est présent chez plusieurs dès le bas âge, c’est – à- dire à la maternelle avec des comportement de rackets de gouters ou des camarades qui s’n prennent aux autres. En grandissants, ce sont des actes qui s’aggravent et peuvent aboutir à des échanges de coups qui sont filmés et parfois relayés sur les réseaux sociaux, le cas des élèves de Port-Gentil. Il faut dire que la violence en milieu scolaire n’est pas seulement physique, elle peut se manifester sous plusieurs formes, physiques, psychologique. Le fléau de la violence en milieu scolaire provoque un climat d’insécurité dans les établissements et empêche les plus vulnérables à suivre les cours en toute quiétude. Au niveau des écoles primaires et secondaires, plusieurs élèves refusent parfois des de se rendre à l’école de peur de tomber sur leurs bourreaux et y subir des sévices. Résultats, ce sont des échecs scolaires occasionnées par la peur et le fait de ne pas pouvoir se défendre ou dénoncer les responsables car victime de plusieurs menaces. Les responsables sont d'autres élèves qui agissent sous les effets des grogues et stupefiants , les mettant dans des etats second, et ne controles plus leurs pulsions. Au sortir du Dialogue National Inclusif, plusieurs attentes sont dont souhaitées afin d’y remédier et trouver des voies et moyens pour lever cette psychose qui plane dans les établissements primaires, secondaires et universitaire de Gabaon.

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